mercredi 28 mai 2008

Prêt, pas prêt, j'y vais

Plus de trois mois d'absence, mon blog était officiellement à l'agonie, moi qui eut osé l'abandonner sans subsistance. C'est donc de justesse que je tente de le réanimer...

L'été joue officiellement à la cachette avec moi, il est près, mais reste embusqué afin de rire de ma tête, en me voyant qui le cherche dans chaque recoin.

Les grandes étapes cependant se sont officiellement effectuées : fini Sherbrooke, déménagement, bonjour Québec, Montréal est loin, puis Trois-Rivières pris entre les deux. Bon, sinon il n'y a pas assez de changements radicaux et de distractions à mon gout actuellement, eux aussi sont cachés avec l'été et se foutent de moi. Je ne fais que penser à la Californie, et la libération qui s'en suivra. Ma tête en a bien besoin, je l'ai trop malmener, si ça continue elle aussi va se cacher de moi.

Bref, mon existence se résume à ce petit jeu enfantin, où on fait le décompte, jusqu'à ce que tout disparaisse, et ce, dans le seul but d'essayer de le retrouver.....

3 mois...

mardi 18 mars 2008

Décoller

Constatation: en planche, si a un moment précis nous avons assez de vitesse, on décolle littéralement du sol. En tant que novice, j'ai pour la première fois vraiment sentie cette impression récemment...

Je me demande si cela va faire pareil avec mon rythme de vie, tellement rapide qu'à un certain point je vais décoller et être au-dessus de tout....

hummm....

I'm tagué!

Bon, maintenant la tague. Bonne solution, car après plus d'un mois d'inaction je dois bien recommencer quelque part. Alors go...

Je l'ai attrapé de Vey

Voici le jeu :

1. Écrire le lien de la personne qui nous a tagué
2. Préciser le règlement sur son blogue
3. Mentionner six choses sans importance sur soi
4. Taguer six autres personnes en mettant leur lien
5. Prévenir ces personnes sur leur blogue respectif

Voici les 6 choses sur moi :

1. Je n'aime pas la viande sauvage: bref, n'essayer jamais de me faire manger du cheval, orignal ou chevreuil c'est perdu d'avance, je n'ai pas envie de manger ces animaux, j'ai déjà de la difficulté avec le bœuf et le poulet là!

2. Je tourne ma couette en guise de tic nerveux: disons que cela me sert d'exutoire pour le stress...

3. Je suis confortable dans le bordel: bref quand c'est tout rangé, cela ne m'inspire pas, il faut rendre vivant notre environnement voyons!

4. J'aime pas le sel: c'est vrai, je suis du type sucré...tant mieux c'est bien meilleur!

5. Des fois quand on essaie de me réveiller je deviens méchante: ouais malheureusement je suis parfois de ce genre, je suis protectrice de mon bien-être c'est tout!

6. Je sais pas ce que j'ai envie de faire de ma peau dans le futur: fin de bacc et rien de précis....oufff...une chance qu'il y a la Californie qui approche!

Voilà, j'ai accomplie la mission, mais pour ce qui est de trouver des trucs que tu connais pas Vey, on repassera!



samedi 1 mars 2008

Across the Universe

Si une comédie musicale sur DVD ne vous fait pas peur, alors GO! Qu'est-ce que vous attendez pour louer cette oeuvre incroyable! Ça donne envie d'être dans les nuages....!!!

On inspire et on se relache

Après avoir oublié ce geste si intuitif pendant deux petites (mais combien longues) semaines; enfin la pression redescant ou plutôt je la fais passer...
J'en conviens que ce fut plus facile qu'il n'y paraît : une mi-session ordinaire quoi! Le plus exigeant? Retenir toute cette agitation, ne pas avoir le temps d'extérioriser, f*ck (bien désolé pour le juron, je trouve que cela ajoute de l'intensité!) rien d'autre à dire.

Alors c'est fait, j'ai submergé le reste de stress, expulsé toute cette stagnance et déversé les restes.

Maintenant, j'aspire un peu davantage. Les secondes passeront les unes après les autres, mais je sais qu'elles tricheront. Un léger répit, un temps de pause, peu importe comment on le nomme : il ne faut pas laisser aucun moment s'échapper.

On se bourre le crâne, mais par pur plaisir, on meuble le temps (le surcharger surtout), bref je ne comprends plus pourquoi je mentionnais répit.

Anyway, on se laisse emporter pendant ces quelques jours ou enfin notre temps nous réappartient. Conserver mon bien et ne plus me priver!

That's it!

lundi 18 février 2008

Gris

Ah! Une chance que j'aime l'hiver... mais, par contre, pas trop les comportements d'ermites des gens. Disons que j'ai envie de mouvement, changement, et que là, ça stagne.
Il est vrai que la mi-session est en train de se pointer et que
bye bye la vie sociale, ça démoralise, même moi.
Alors, je pense à tous ces projets, et comme toujours je fait trop de plans dans ma tête qui n'arrête plus....mes idées ressemblent à Californie, road trip, découverte, Québec, stage, restaurant, terrases, Plaines, rencontres, folies et conneries, tout ce qui peut m'accaparer et m'empêcher de respirer tellement je suis absorbée.....
Aujourd'hui, le soleil et ses 10 degré ont faire germer en moi l'idée du printemps et de tout cela qui s'approchait, se concrétiserait sous peu. Je crois que encore une fois j'ai besoin d'un renouveau, en fait à chaque saison il m'en faut un. Je suis devenue comme ça, avide de l'inconnu et des sensations extrêmes....
Avant que je devienne terne, il faut que je m'abreuve.....mais on dirait que j'en veux beaucoup, davantage que ce que mon statut d'étudiante me permet.....à puis merde, je vais devoir être patiente, mais à la moindre goutte d'éveil
watch out je reviens toujours plus énergique, si cela ce peut.......

Ah! Je veux BOUGER.........

vendredi 15 février 2008

Après une journée satisfaisante

Le snow :

Je ne regarde pas en bas, mais plutôt où je m'en vais.

Question de sport ou de principe.


Ou sinon, saviez-vous qu'il était interdit de faire de la glisse, ou rider, avec un bébé accroché dans le dos? Moi non. Et je n'aurais jamais cru que cela puisse venir à l'esprit de quelqu'un non plus.
Consternation

dimanche 13 janvier 2008

Et ça continue, le reste aussi

Ok! Je dois l'avouer je ne suis pas très active, mais je ne vois pas l'obligation d'écrire si je n'ai rien de pertinent à dire, et ce, selon mon jugement; car cette pertinence est bien subjective à chacun, mon seuil de tolérance étant malheureusement bien élevé.

Ce soir, veille de cette deuxième semaine à Sherbrooke, j'ai envie d'étaler, voire garocher, des théories, pensées, craintes, espoirs qui tournoient dans ma tête. Alors, je jettes tout cela à l'écran afin d'observer et d'analyser (ou critiquer) le tableau final.

Bon, le fameux retour...
Le bilan : j'ai trop d'attentes, alors faut se calmer
(c'est-à-dire, passer de floue sur un beat exagéré à normale); mais dans mon cas cela a toujours été tout un défi.

Alors, après s'être données corps et âme (ou plutôt argent et temps) pour une soirée de retrouvailles avec thématique, surprises et déco; nous (moi et la coloc, Vey pour les intimes) avons constaté que plusieurs de nos collègues étudiants sherbrookois n'étaient plus aussi de party que lorsque nous étions des premières; mais, au moins, que ceux qui l'étaient encore autant y mettaient vraiment toute leur énergie. Pas pire consolation, tsé!

Malgré tout, l'espoir d'une dernière session à Sherbrooke totalement mémorable reste bien encrée dans ma tête débordante. Le fait de retrouver des amis éloignés pendant des mois en quelques secondes a certainement été le moment fort de cette semaine déjà achevée qui laisse sa place à la suivante.

Il y a d'autres préoccupations aussi, le truc que je n'ai vraiment pas envie de nommer et dont tout le monde chercher Le grand.... Honnêtement, je ne sais vraiment pas comment j'ai déjà fait pour m'y trouver, et de ne plus faire partie des gens qui pensent peut-être l'avoir trouvé ne fait que me confondre davantage dans cette idée abstraite.
Après films et séries télé, où ce truc est exhibé, idéalisé; que penser?... J'entends encore les " je veux une histoire comme ça, je veux un homme comme lui, etc." et je me rends compte que ça ne vient pas de moi et que je n'y pense même pas. Serais-je blasée, ou désillusionnée...momentanément.

Je suis entourée d'histoires compliquées et j'ai amplement vécues les miennes, et je n'y comprends absolument plus rien. Pourquoi
presque tout doit tourner autour de cette chose, l'humain ne peut-il pas s'accomplir et s'épanouir autrement? Bref, il y a une surdose de ce truc dans l'air...et je vais donc chercher de l'oxygène ailleurs. Non pas que je n'ai pas envie d'être là pour ceux qui en ont besoin, et qui l'ont tant été pour moi; de tout manière c'est tellement plus simple être témoin de l'histoire des autres, comme ça on se pause aucune question sur ce qu'il advient de la nôtre. Ok, je sens que je dérape alors on revient à un sujet plus facile et non futile!

Une nouvelle semaine en (et des) perspectives. Le plan, pas de plan voyons, simplement accomplir le devoir ma présence dans cette ville : études et party! Ha, et peut-être essayer de refiler à tous ceux qui me croisent cette envie irrépressible d'extérioriser (faire la fête, des activités, bouger, socialiser surtout) toutes les pressions environnantes.

J'ai bien hâte de voir quelle direction tout ça va prendre; anyway tant que j'arrive où je dois, je m'en fou à moitié.



mercredi 2 janvier 2008

Un bilan de feue 2007

Bon, le tout est plutôt bien situé dans le temps, mes 22 ans, début d'une nouvelle année et je décide en même temps de m'exposer, presque m'exhiber sur un média public; alors voilà je me mets à nu pour vous.

Bilan 2007

Donc, 22 ans, fin d'une année périlleuse: 3 ou 4 déménagements, régime coopératif sherbrookois l'exigeant; on se remet en couple (après, disons, 4 ruptures antérieures) pour finalement retourner à l'ordre normal des choses et du bon sens dans cette situation...vivre un peu en solo!

Sans oublier les voyages effectués : Gaspésie (rien de moins que le tour de ce chouette bout de terre qui entre dans l'océan) et Pennsylvanie; question de profiter de la hausse du dollar et de sombrer un peu dans le tourbillon enivrant de la consommation du " C'est pas cher, donc j'achète!"; même les âmes non corrompues ne sauraient y résister.

Deux expériences en milieu professionnel, l'une pas du tout convaincante et la seconde, Oh! bonheur, semble tracer le début d'une possibilité de la concrétisation de mon potentiel avenir dans ce monde!

Deux nouvelles villes aux antipodes : Montréal vs Québec! Verdict: chacune s'est marié (ok s'il y a une faute ici, c'est parce que je n'ai pas du tout envie en ce moment de vérifier dans mes papiers de Révision de texte comment un p*tain de verbe pronominal de telle sorte s'accorde) à perfection avec mon timing de statut social. La Métropole pour le divertissement et tout ce qui est facile, la vie va trop bien; la Capitale pour se ressourcer et faire son bilan perso, pour déprimer légèrement avant de se reconnecter à son environnement.

Vivre en collocation avec 6 personnes différentes, dont quatre mois avec deux individus de la gente masculine.

Rencontrer et quitter des tas gens; dont chaque personne à sa manière m'a aidé, ou du moins m'a appris, par ce qu'elle est à faire ou ne pas faire, réfléchir, accepter ou me battre.

Bref, après avoir mener pendant un an, une vie sans trop d'attaches, avec des fluctuations, des pertes, et beaucoup de gens qui ont défilés dans mon univers, je suis à la fois énervée (pour faire changement!) et anxieuse de voir 2008 se pointer à ma porte. Parce que cette fois, je le sens, tout va bouger et je crois bien que je vais être emportée dans une vague, mais de quoi? Humm, bonne question et pas de réponse!

Alors, selon mes prédictions, cela commence par un retour / retrouvailles sensas à Sherbrooke avec mon monde; des partys, pleins de travaux, enfin des cours créatifs et plus encore. Ensuite, un stage d'été, retour à Québec ou une nouvelle aventure. Et, pour clore le tout, un échange possible en Californie ou ailleurs aux States (choix de pays bouche-trou, l'Europe étant malheureusement aux dessus des mes moyens) au mieux je vais perfectionner mon anglais!

Donc, c'est pas si mal, pour moi qui est incapable de rester en place, mais tout de même un peu intimidant, aller...

3....2.....1 C'est parti!